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8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 11:38

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 13:00

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Vous me reconnaissez? Non? Ben moi non plus 

Pour deux raisons. 

La première : pantalon blanc + tee-shirt bleu pétard. Un changement radical de garde robe pour une personne habituée aux couleurs sombres (de préférence noire) et aux blouses/chemises qui cachent les fesses!

 La seconde : première leçon découverte de golf. L'occasion d'apprendre aussi que la fédération française de golf lance une grande opération de "démocratisation" de ce sport, en prévision de la Ryder's Cup de 2018, d'où des séances découvertes à 10 euros cet été. Si ça vous tente, zieuter les offres dans les golfs, elles devraient se multiplier...

Bref, revenons à notre green : le golf faisait partie de ma "to do list des envies" depuis environ 15 ans. Mais l'idée de devoir "swinguer" sur un practice me faisait peur : j'allais être ridicule parce que je n'y arriverais pas et que je n'ai pas vraiment un physique de sportive. Et donc tout le monde se moquerait forcément de moi...

Pendant le cours, je me suis vue vivre plusieurs situations qui m'auraient tétanisée quelques mois auparavant encore. Du genre le petit trait d'humour du prof juste avant de commencer : "bon, maintenant c'est à vous. Et nous, on va bien rigoler de vous regarder!". Ou bien mon club qui râte la balle juste au moment où le prof est derrière moi à me donner des conseils...

Dire que j'étais 100% à l'aise serait un (gros) mensonge. Mais 80% ça me paraît juste. 

En sortant, plus que la découverte du golf, j'étais contente d'avoir simplement pris plaisir à cette leçon et de l'avoir vécu à fond, sans (trop) me soucier du regard des autres et sans me braquer sur mes peurs ravivées par certaines remarques. 

Et là, l'évidence m'est tombée dessus. Youpi! Enfin je me sens mieux avec et dans mon corps. Assez bien pour m'habiller autrement. Assez bien pour bouger autrement. Assez bien pour oser.

Un long chemin de réappropriation du corps commencé il y a plusieurs années de manière assez traditionnelle (quoique c'était déjà autrement à l'époque!). Et qui s'est poursuivi avec un vrai travail directement sur le corps, au travers de la pratique quotidienne du reiki, la découverte des massages bien-être, du shia-tsu et de la réfléxologie, de soins par acupuncture et ostéopathie, des conseils relooking et coiffure...

Et j'ai encore pleins d'outils à utiliser pour m'aider. Comme me remettre (enfin) au sport ou intégrer le jeûn dans mon hygiène de vie. Ca viendra je sais. Au fur et à mesure que ma carapace fond et que je me deviens celle que je suis vraiment tout au fond.

Tout ceci me conforte dans une chose : les poudres miracles de perlinpinpin dégueulasses, les piqures, les régimes ne sont pas LA façon de se sentir bien et à l'aise avec son corps. Ils le permettent oui, temporairement. Mais durablement ça ne tient pas à moins de se contrôler et de se priver toute sa vie. Et quand bien même on atteindrait notre poids dit "idéal", est-ce le gage de se sentir mieux avoir son corps?

Pour ma part je sais que non. Car ils ne font que travailler la "forme" - la surface, pas le "fond" - les raisons "qui font que". Je ne "cours" pas après un poids idéal. Je "cours" après une acceptation de moi-même qui m'apporte le bien-être. Peut être ce sera 60 kgs (je fais 1m60), peut-être ce sera 55, peut être 50? Je ne sais pas. Je fais confiance à mon corps pour se stabiliser là où se sera le poids juste. 

Si vous aussi vous avez envie de changer votre rapport au corps, essayer d'aborder la question  "autrement". Sortez des sentiers battus, cherchez la ou les personnes qui peuvent vous aider à enclencher quelque chose. Et ne cherchez pas de solution miracle qui marche en 3 mois. Désolé, ça n'existe pas...

Ce qui s'inscrit dans la durée demande de la constance, et donc du temps. Le temps de voir, le temps de comprendre, le temps d'accepter, le temps de changer. 

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 20:05

Grâce au travail que je fais sur le corps depuis bientôt 5 ans maintenant, entre relaxation, reiki, soins divers, je peux de moins en moins ignorer les messages du corps. Je continue à ne pas l'écouter, ou pas bien, ou pas assez; mais petit à petit, je sens un changement profond et stable s'opérer. Petite touche par petite touche. Parfois, il me faut un coup de semonce un peu violent pour réagir.

Là, c'est mon estomac et mon foie qui me disent depuis cet été : essaie encore un peu de nous maltraiter comme tu le fais depuis 25 ans et tu vas voir ce que tu vas voir! Message reçu 5/5. Alors je suis retournée voir la naturopathe qui avait commencé à me suivre il y a quelques temps (j'avais arrêté en court de route, pas prête à changer à l'époque). Outre un petit programme léger de "nettoyage", elle m'a donné quelques indications pour changer mon alimentation sans contrainte. Rien de très nouveau pour moi en soi, je connaissais déjà certains produits et je les prenais ponctullement, par çi par là. Mais là, je m'y suis vraiment mise. Un tour au Naturalia du coin pour les courses de base et voilà. Depuis que je les applique, ça me change la vie...et la digestion : 

- Exit le café qui finissait par m'écoeurer et me brûler l'estomac bonjour le Yannoh Café. La composition peut surprendre (!) mais j'aime bien. Et je peux en boire à toutes heures de la journée;

- Au petit-déjeuner, au revoir le beurre sur les tartines, bonjour la purée d'amande blanche relévée d'un peu de compote ou de confiture sans sucre ajouté. En alternance avec le Miam-ô-fruits (voir la vidéo), une recette qu'une amie m'avait donnée il y a quelques années déjà mais que je ne consommais que très occasionnellement;

- Adieu fromage et yaourt au lait de vache, bonjour les produits au lait de brebis. Et les yaourts au soja mais que ceux au chocolat (pour le moment, je ne me suis pas aventurée à en goûter d'autres);

- Retour d'une protéine au moins par jour (viande, poisson, oeufs principalement) par jour dans mon assiette, avec portion de féculent (riz, quinoa principalement) et de légumes;

- Arrivée du gomasio dans ma cuisine;

- Retour du pain "home made" parce que mon estomac se révolte si je le nourris pendant plusieurs jours du pain 100% industriels des boulangeries de mon quartier. Si possible avec du levain sans gluten quand j'en trouve. Sinon c'est des galettes de riz ou du pain au fleurs;

- Trois repas par jour à heure fixe, même si ce n'est qu'une compote au petit-déj. Et toujours assise, tranquillement. Du coup, même si je suis dehors à l'heure du déjeuner, je m'arrête prendre une salade poulet dans un resto chinois ou un bol de soupe entre 12h30 et 13h00. Histoire de ne pas avaler un sandwich dans le métro ou de, purement et simplement, sauter un repas.

Pas de grosses révolutions dans le fond, simplement quelques adaptations légères et non contraignantes. Qui ne m'empêchent pas, de temps en temps, d'apprécier un bon morceau de claquos, un "vrai café"...et un peu de chocolat quand même j'avoue (celui avec le café!).

Les résultats?

- j'ai "dégonflé" et maigri un peu aussi;

- chocolat et gâteaux n'arrivent plus à se glisser dans mon panier. Même si ma tête à encore le réflexe de se diriger vers eux dans les rayons, une fois devant rien ne me donne envie (yes!). C'était déjà le cas avant mais ça c'est accentué;

- mon estomac et mon foie me disent merci. Je me sens légère et plus péchue qu'avant;

- mine de rien, j'ai restructuré mes journées autours des trois repas, une chose que j'avais petit à petit perdue. Depuis que mon emploi du temps de salarié ne rythme plus mes journées à ma place ((-;

Mon problème? Tenir sur la longueur pour mettre en place quelque chose de constant. Mais par rapport à avant, j'ai compris des choses importantes.

1°) manger me sert à enfouir mes émotions. Si je les accepte et les exprime, alors je n'ai plus besoin de les étouffer à coup de chocolat et de gâteaux;

2°) aujourd'hui j'ai envie, de plus en plus, de prendre soin de moi. Vraiment. Ce que je ne faisais pas, peu ou mal. Et cela ne dépend que de moi, c'est ma pleine et entière responsabilité;

3°) mon corps est comme une voiture. Si je ne lui donne pas de carburant, il n'avance pas. Si je lui donne le mauvais, il avance mais pas à 100% de ces capacités et surtout, il s'encrasse insidieusement petit à petit.

Je vous laisse avec la recette du Miam ô fruits en vidéo. Perso, je ne broie pas les noisettes et les amandes, et en lieu et place du kiwi, je mets plutôt une pomme. Le broyage des graines de sésame, c'est pour une meilleure assimilation mais j'avoue, je ne le fais pas toujours non plus.

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10 juin 2011 5 10 /06 /juin /2011 22:51

Il y a plus de 2 ans, j'écrivais ce post, pensant sincèrement que ma bataille contre les kilos touchait à sa fin. C'est en cours, mais de fait, ce n'est pas encore le cas. Cependant, j'ai toujours l'intime conviction que le jour où j'aurai ouvert et vidé toutes mes valises et posée ma vraie vie qui me correspond; le surpoids s'envolera.

En mai dernier, j'ai pris rdv avec une jeune femme naturopathe. L'envie de reprendre "autrement", un travail sur mon alimentation, entre autre. Grâce à elle, j'ai compris une chose fondamentale.  

Pour la première fois, quelqu'un m'a expliqué que la nourriture était chez moi, ce que j'appelerai un "monoréflexe". A savoir que je réponds toujours de la même manière à mes besoins, sans distinction. Fatiguée, besoin de dormir : je mange. Angoissée, besoin de me détendre ou de me changer les idées : je mange. Pleine d'énergie, besoin de me dépenser : je mange. Peinée ou en colère, besoin d'exprimer mon ressenti : je mange.

Si je prends le cas numéro un, je pourrais choisir d'aller me coucher si je suis fatiguée. Comme ce soir par exemple, où je lutte devant mon ordinateur alors que je tombe de sommeil depuis 2h00. Non seulement je ne vais pas me coucher, mais je viens de boulotter une gaufre liégoise. Alors que je n'ai pas faim...mais sommeil. D'ailleurs, j'entends souvent "je me suis couché sans manger tellement j'étais fatiguée". Perso, je ne sais pas ce que c'est, sauf quand je suis malade. Et encore!

Je ne me mets plus la râte au court bouillon avec mon poids. Grâce à un premier travail avec une nutritionniste elle aussi "autrement" (voir le site de l'association GROS, si vous voulez en savoir un peu plus),  je suis sortie, depuis plus de 3 ans de la spirale infernale des régimes et du jugement de la "pauvre fille qui n'a pas de volonté".

Cette clé est une nouvelle étape. Réussir aujourd'hui, à identifier mes besoins et à y apporter la réponse adéquate. Ca va de paire, d'ailleurs, avec le fait d'identifier mes envies et de les réaliser.

Alors exercice pratique tout de suite : je vais me coucher. De toute façon, y'a plus de gaufres liégoises...!

 

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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 20:43

Voilà une créatrice qui a eu une super idée : vendre des colliers qui comprennent 4 ou 5 bijoux séparables.

Je m'explique : vous achetez un collier avec un pendentif pierre, et, selon les modèles, une broche + une bague + des boucles d'oreille.

Résultat : soit vous portez tout ensemble et cela fait un beau collier, soit vous les portez dissociés.

Allez hop, une photo vaudra mieux que du blabla

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Ca peut paraitre cher (environ 130 euros le collier), mais vous avez au final 4 ou 5 bijoux différents. Pour découvrir la collection (et commander!?), c'est ICI.

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 07:08

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Ce dessin, envoyé par une amie, m'a beaucoup fait rire! Comme j'aurais aimer avoir ce sens de la répartie quand j'étais plus jeune!!!

En même temps, je ne me serais pas trouvée dans la situation du petit bonhomme assis...Parce que je ne sais pas pour vous, mais perso j'aurais tout de suite entendue : "Ne reste pas à rien faire. Ce sont les fainéants qui ne font rien, je ne veux pas que tu deviennes fainéante!"

Toujours être occupée, ne jamais avoir "les mains vides", c'était le leitmotiv. Du coup, j'ai très vite appris à "combler le rien", puis à le fuir, parce que le "rien" m'ennuyait terriblement.

D'où un emploi du temps de ministre, même en vacances. Jamais un instant de pause, même pas une sieste, parce que "faire une sieste en milieu de journée, ça rend malade (sic)!".

Ouf, aujourd'hui je suis en phase de déconditionnement, grâce aux ateliers de relaxation que je fais toutes les semaines depuis plus d'un an.

Je réapprends "à faire du rien", et c'est trop bien. Ca permet de se reposer, de calmer la machine, de prendre du recul, de laisser les idées et les solutions se dessiner doucement, tranquillement.

Moi je dis : j'ai pas fini de faire du rien!

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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 08:24

Une nouvelle création de  Florence. Après les cahiers d'amour, elle crée des J.O.U. En voilà un exemple.

Picnik-collage-copie-6.jpg

 

Un magnifique bracelet de cheville, en agathe rose celui là. J'adore! Un "Must Have" de l'été (si, c'est l'été, depuis hier!!!).

Pour découvrir sa collection, c'est ICI

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 10:29

Juin 2001 : je me couche dans mon nouvel appart. J'ai un bon job,  des amis, je vis là où j'ai toujours voulu vivre. Bref, ma vie se pose, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Soudain, un sifflement continu très désagréable. Je tourne dans l'appart pour en trouver l'origine, je descends même dans la rue faire le tour du pâté de maison. Rien. Alors, je dois me rendre à l'évidence : les bruits viennent de mes oreilles.

Le lendemain, un ORL m'annonce "acouphènes", me prescrit du Rivotril en me disant que dès que j'aurai trouver le dosage qui me correspond, je pourrai vivre avec. Je dose tellement que je deviens un zombie, sans pour autant réussir à gérer.

Alors direction l'Hôpital Georges Pompidou qui confirme le diagnostic : "on ne sait pas agir sur ce phénomène. En tout cas, votre audition est parfaite, ce n'est pas un choc acoustique qui est à l'origine. Prenez un rdv avec un spécialiste, place disponible dans 6 mois. Au revoir".

And so what? Je fais comment? Il me reste à trouver une solution par moi même pour ne pas devenir complètement folle. Et c'est là que je dis merci à mes acouphènes, parce que

- ils m'ont obligé à faire ma première démarche vers une accompagnante. Une psychologue comportementale spécialisée dans l'aide aux personnes rencontrant un problème médical. Elle et un ORL génial m'ont aidée à les gérer et à vivre avec. Et, forcément, à commencer un travail sur moi;

- ils sont rapidement devenus un baromètre de mon état. Dès que les sifflements se faisaient trop intenses, c'était le signal d'une période de grosse fatigue et de stress. Et le seul moyen de les calmer était de lever le pied;

- ils m'ont montré que je ne devais pas m'arrêter à l'avis d'une personne fusse-t-elle un spécialiste, ne pas accepter les discours fatalistes. Au contraire, je devais oser pousser des portes et  chercher les personnes appropriées, en me laissant guider par mon ressenti. Et accepter l'aide et le soutien de mon entourage.

Avec le recul, je me suis rendue compte que leur apparition coincidait avec la fin d'une longue période plutôt secouante. Javais continuer à traçer ma route sans m'arrêter, sans prêter attention à tous les signaux qui me disaient "ça ne va pas, pose toi, repose toi, ne fait pas comme si de rien n'était, écoute ce qui se passe autour de toi". Au final, le signal d'alarme aurait pu être beaucoup plus grave...

Le dernier billet de Marie-Lore sur le corps, ce merveilleux allié, m'a donné envie de poster ce post écrit depuis très longtemps.

Pour partager avec vous l'expérience de quelqu'un pour qui le corps n'existait pas. La tête gouvernait, le reste suivait comme il pouvait.  Ce petit pépin  de santé a été une première prise de conscience, mais bien légère, je dois l'avouer. J'ai continué à fonctionner avec ma tête, en faisant des minis pauses de temps en temps...pendant lesquelles ma tête turbinait à fond quand même.

Depuis plus de 2 ans maintenant, je réapprends à passer par le corps. : grâce au Reiki, à des séances hebdomadaires de relaxation, à l'intégration dans mon quotidien de petites pauses et de moment de "rien".

Petit à petit non seulement je commence à en prendre soin, de ce corps que j'ai toujours négligé; mais surtout j'apprends à l'écouter. Pour que ce ne soit plus uniquement ma tête qui gouverne. Et franchement, ça change la vie.

D'ailleurs...mes acouphènes...petit à petit...ils sont partis. Dès que j'ai accepté d'écouter et d'entendre ce que mon corps essayait de me dire, et que j'ai réussi à lever le barrage que ma tête avait dressé.

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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 16:01
Je ne sais pas vraiment quand ni comment c'est arrivé. Mais aujourd'hui je me rends compte  que de plus en plus, je regarde la composition des produits que j'achète. Et les conséquences sont pour le moins conséquantes, sur ma vie quotidienne.

1°) Quand je vois, pour des produits simples de consommation courante, tous les
trucs machins bidules qui les composent, ça me fait peur et ça me coupe l'envie directe! Je  me suis "amusée" à regarder la composition de la soupe poireau/pommes de terre, par exemple,  chez des marques leader (à noter que sur aucun des sites de ces marques, il n'est possible de trouver le détail de la composition). C'est parti :

- velouté poireaux/pommes de terre Liebig en brique : légumes 37% (poireau, pomme de terre, épinard, oignons), amidon de riz, épinards, beurre de cuisine, sel, arômes naturels, protéine de lait, vitamine PP, C, B5, B1.

- soupe lyophilisée poireaux de Knorr :
légumes : 80 % (pommes de terre, poireaux : 31 %, oignons, céleri, carotte), huile de palme, sel, extrait de levure, lactose, protéine de lait, vitamines (b6,b9 et c), épices, arômes, exhausteur de goût : glutamate de sodium.

Résultat : je suis devenue Home Made Soupe addict. Perso, ma soupe de poireau c'est 100% de légumes cuits dans un 1 ou 1,5 litres d'eau, un cube de bouillon légumes bio (parce que bonjour la composition des autres...et bientôt, je me pencherai sur les herbes contenus dans ces bouillons pour les faire moi même). Et c'est tout. Pour un coût de revient qui ne dépasse pas le prix d'une soupe du commerce, même en prenant des légumes bios.

Et il y a aussi les plats tout préparés. Un petit coup d'oeil sur la composition  du Hachis Parmentier de chez Findus (c'est tombé sur lui parce que c'est là que j'ai trouvé une composition détaillée, mais ça pourrait aussi bien être un autre), et je dégaine aussitôt patates (même que si je suis vraiment flemmarde, je prends la purée 100% pommes de terre de chez Picard), viande hâchée, un chouia de beurre et/ou crème, gruyère, persil, oignons. Simplissime et super bon.

2°) Je me rends compte aussi qu'être dégoûtée des étiquettes et me mettre à cuisiner, fait que petit à petit, j'ai changé mon rapport à la nourriture.

Comme je n'arrive plus à manger n'importe quoi, je craque beaucoup moins. Et puis si malgré tout j'ai envie d'un gâteau ou d'une brioche...et bien je me le fais (enfin je ne fais pas encore les religieuses au café et au chocolat, mes préférées). Et soit je partage, soit si personne ne passe, je congèle pour une prochaine fois.

Ca ne me prend pas plus de temps que de descendre à la boulangerie, faire la queue, et remonter chez moi. J'ai testé hier avec un gâteau au chocolat : 5 minutes montre en main, de préparation!

3°) Et enfin, ma manière de faire les courses a radicalement changé elle aussi. Finis les achats compulsifs ou de dernière minute, à la supérette en bas de chez moi. Maintenant c'est une ou deux visites par semaine au Carrefour Market, et quasi que des produits de base.

Alors aujourd'hui, je suis en passe de devenir une serial cookeuse, pour mon plus grand bonheur. Sans effort particulier, vraiment. Le fait que j'ai un peu plus de temps m'a aidée à le mettre en place mais je sais aujourd'hui que même avec un emploi du temps plus soutenu, je garderai l'habitude de remplir mon placard et mon congélo de produits de base (quitte à me  faire livrer). Que je pourrais cuisiner rapido le midi ou le soir en rentrant.

N'en déplaise à Mme Elizabeth Badinter, dorénavant, je cuisine moi même mes "petits pots". Et c'est top!

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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 09:14
Parce que j'ai envie de mettre des bonnes choses dans mon assiette et que j'ai à nouveau plaisir à cuisine, je renoue avec le Campanier que je négligeais depuis un petit moment.

Un rapport qualité/prix super, pour des produits 100% bio, qui ont la tête et le goût de vrais légumes.

4 formules : le panier de légumes petit modèle (8 euros) ou grand modèle (12 euros), le panier de fruit (10 euros) et le panier mixte (9 euros). Perso, c'est celui que je prends.

Au menu du Panier mixte de cette semaine : 2 artichauts poivrade, une courge butternut,  1kgs de pomme de terre / 2 oranges, 2 pommes et 4 kiwis.
CIMG0042Miam. J'ai hâte de les faire passer à la casserole et de tester les recettes du Campapier, le petit journal qui accompagne chaque panier.

Franchement, si vous avez un point de livraison dans le coin, n'hésiter pas à tester au moins une fois. Cela ne vous coûtera pas plus cher que des fruits et légumes dégueus du supermarché du coin.

Et si vous voulez bien, revenir me dire ce que vous en pensez..

Bon ap'
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